10 janvier 2009
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Le martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis) vit obligatoirement à proximité de l'eau claire: cours d'eau au débit plutôt lent, lacs, étangs. On le voit parfois également sur le littoral à marée basse pêchant dans les mares où les petits poissons se trouvent prisonniers.
Les rivages bordés d'arbres aux branches basses lui offrent des perchoirs qui lui servent d'affût pour la pêche.
Les berges sablonneuses au flanc vertical lui donnent des lieux de nidification. Il y creuse un tunnel situé entre 1 et 4 mètres au -dessus du niveau de l'eau, d'une longueur variant entre 50 et 90 cm. Ce tunnel débouche sur le nid.
Il se déplace très rapidement en effleurant l'eau et ses cris brefs et incisifs le signalent.
J'ai choisi, avec cette technique à l'huile, de le peindre en pleine action.
De sa branche en affût, il se précipite en piqué dans l'eau ou il pénêtre avec force. Avec son bec effilé comme un poignard il capture le petit poisson. De retour sur la branche celui-ci y est assommé énergiquement puis disposé la tête la première dans le bec pour être avalé ou l'inverse s'il est destiné à nourrir les jeunes.
Les hivers rigoureux sont terribles pour lui, quand ses lieux de pêche sont pris par la glace, il est privé de nourriture. Le froid peut également endommagé ses doigts très sensibles et le mutiler.
L'intervention humaine sur les fleuves, rivières, ruisseaux et l'assèchement des zones humides nuisent à sa survie. La pollution des eaux, les toxiques absorbés avec ses proies sont néfastes à sa santé.
C'est un véritable petit joyau dont les tons bleus du plumage éclatant varient suivant la lumière vers l'émeraude, l'indigo et le turquoise.
Il est de ce fait un de mes oiseaux préférés et je l'ai peint à plusieurs reprises. Je vous proposerai donc plus tard d'autres articles et oeuvres pour finir de vous le présenter.
Les rivages bordés d'arbres aux branches basses lui offrent des perchoirs qui lui servent d'affût pour la pêche.
Les berges sablonneuses au flanc vertical lui donnent des lieux de nidification. Il y creuse un tunnel situé entre 1 et 4 mètres au -dessus du niveau de l'eau, d'une longueur variant entre 50 et 90 cm. Ce tunnel débouche sur le nid.
Il se déplace très rapidement en effleurant l'eau et ses cris brefs et incisifs le signalent.
J'ai choisi, avec cette technique à l'huile, de le peindre en pleine action.
De sa branche en affût, il se précipite en piqué dans l'eau ou il pénêtre avec force. Avec son bec effilé comme un poignard il capture le petit poisson. De retour sur la branche celui-ci y est assommé énergiquement puis disposé la tête la première dans le bec pour être avalé ou l'inverse s'il est destiné à nourrir les jeunes.
Les hivers rigoureux sont terribles pour lui, quand ses lieux de pêche sont pris par la glace, il est privé de nourriture. Le froid peut également endommagé ses doigts très sensibles et le mutiler.
L'intervention humaine sur les fleuves, rivières, ruisseaux et l'assèchement des zones humides nuisent à sa survie. La pollution des eaux, les toxiques absorbés avec ses proies sont néfastes à sa santé.
C'est un véritable petit joyau dont les tons bleus du plumage éclatant varient suivant la lumière vers l'émeraude, l'indigo et le turquoise.
Il est de ce fait un de mes oiseaux préférés et je l'ai peint à plusieurs reprises. Je vous proposerai donc plus tard d'autres articles et oeuvres pour finir de vous le présenter.